J’ai dit de toi ce que tu es réellement

Rasta
tu me dit méchant et sans coeur
tu me dit mauvais caractère
que j ai pas de fond dans mes yeux
pourtant tu a voulus voir
intérieure de mon cercueil
ou javais pris refuge un soir d été
colombe blanche sont repartis sans leur beau plumage
pourtant javais dit plus espion
plus de bon conseilleur
tu ne fais que des erreur
tu na même pas prévenus que tu avais ouvert mon cercueil
reveille ou délivrance
les chaines se sont fait tempête
éclaires déchirant la robe noir de la lune laissant apparaitre ta nudité
tes courbes tes hanches
j éfleure tes seins qui durcisse
je ressent de envie dans ton souffle chaud
qui fait revivre mon corps
éclosion de la rose noir
réveille de sa magie
la chaleur de sont parfums
se dévoile a la surface de mes mains
qui caresses ton corps en flamme de désir
pourtant je restes pas pour autant
pourtant je t offres a toi une roses bleu
aux reflet noir de mon coeur
a la couronne de tes yeux
je te dit au revoir
rasta
oil !
Rasta de Wulf
Marianne provost
J’ai dit de toi ce que tu es réellement
J’aurai du m’apercevoir plus tôt
Avec ce mauvais caractère
Qui parfois surgissait
Tu n’as pas de fond
Car tu nous empêche
D’y pénétré en profondeur
Pour découvrir ce qui si cache
J’ai voulu y pénétré tous comme
Tu as pénétré ma vie
Et mon âme et mon cœur
C’est toi qui as creusé ma tombe
De tes mensonges et ta trahison
Cet été là tu étais si doux et tendre
Et tu es devenue cruel et froid
Et m’a accusé de tous
Ce que tu avais faits
Pour que tous crois encore
En toi en tant qu’un ange.
Mais on sait la vérité
N’es ce pas bel ange.
Toi qui détruis des vies
Combien en a tu détruis à ce jour.
Avec mes mains rapidement
Je manque déjà de doigt
Et cela n’incluse même pas moi.
Je te dis méchant et sans cœur,
Regarde le mal
Que tu m’as fait moi qui n’ai fait
Que t’aimé et vouloir de rendre heureux
Tu m’as abaissé aux yeux
De tous ceux autour de nous
Et même avec ma famille tu as essayé
Et tu la convaincu elle que c’étais moi.
Et tous ceux auprès de toi
Leur demandant de me salir
Auprès de mes amies
Ce que du a fait très divinement
Et je ne me suis pas défendue
Je me suis sauvé pour ne plus souffrir
Et tu reviens m’accuser à chaque fois
Que tous vas mal dans ta vie
Tu n’as pas compris
Que plusieurs t’en veulent
Et m’en veulent de t’avoir aimé
Et t’aime toujours
Tu as eu peur de perdre
Ton beau plumage blanc
Et tu m’as espionné
Car ta sorcière disait de moi
Une volage et tu as crue en elle.
Tu as crue à ses sottises
Un jour du pleurera
À ton tour de la douleur
Que tu m’as fait
Moi qui n’ai fait
Que te donné mon cœur moi
Qui n’a fait que t’aimé.
Tu as suivie les conseille
De cette veille sorcière
Et maintenant tu te retrouve
Avec la vrai volage et ta cruella
Comme tu l’appelais celle
Qui te fait vivre pendant
Que tu viole les femmes de leur cœur
La seule erreur que j’ai pu faire
Est d’avoir posé mes yeux sur toi
Voila mon erreur de ma vie
Car aujourd’hui je vie l’enfer
Telle est m’a pénitence
Pour t’avoir aimé et à continué
A t’aime mon cher nylecoj telord ange noir
Et non ange blanc
Si j’ai pu ouvrir qu’elle que chose en toi
Ce n’est que ton sourire moqueur
Si je savais me délivrer de cet amour empoissonné
Je pourrais me réveillé de ce foutu cauchemar
Mais les chaines de cet amour
Sont trop encre dans mon cœur
Pour me libéré sans m’enlever la vie
Un prix trop cher a payé
Pour avoir aimé le diable noir
Ma nudité tu n’as point vue
Mon corps tu n’auras point
Ange de l’enfer cœur froid cœur remplie de haine
Punis pour cette nuit d’amour
Auprès de toi les deux enlacer vivant cette passion,
La terre appris feu et les ‘eaux ce sont assécher.
J’ai vécu la plus belle nuit auprès de toi
Notre amour était brulant.
Mais plus jamais je vais m’offrir à toi
Car l’amour n’est point dans ton cœur.
La rose c’est ouvert
Une seul fois et resteras fermer
A tous jamais pour toi.
Cette magie est morte et enterrer.
Mais je garde en moi ce doux parfum
Qui avait réchauffé mon cœur
À tous jamais
Et la douceur de tes mains
Sur mes seins brulant
Et de chaque caresse
Qui glissais le long de mon corps enflammé
Par tous cet amour
Plus que la nuit avançais
Le désire durais sans fin
Dans mon âme et mon cœur.
Non tu es partie sans un mot
Sans rien me dire
Tu m’as offert cette rose
Avec le cœur glacé
Le reflet de ton âme dans tes yeux
J’ai vue la froideur tous en toi,
Je te dis adieu.
Mon ange noir je t’aimerai toujours
Malgré le mal que tu m’as fait
Marianne Provost 2012-01-14 —